Dans les préliminaires, nous écoutons notre environnement et nous recueillons les retours d’expérience. Pourquoi ? Parce que, si les acteurs qui nous entourent sont concernés par notre initiative, alors ils ont horreur qu’on pense pour eux, et plus horreur encore qu’on ne les consulte pas, comme s’ils ne valaient rien. Deux outils suffisent : un jeu de trois questions en entretien individuel et un tableau à quatre cases en retour d’expérience de groupe.
Dans les préliminaires, nous écoutons notre environnement…
Les préliminaires, au sens éthymologique, c’est ce que nous faisons avant de franchir le seuil de la chambre.
Je pars du principe que l’initiative que nous pensons lancer, c’est dans un environnement concert que nous la lançons. Un environnement avec une histoire, des acteurs, des mythes aussi.
Pourquoi apprendre de l’environnement et des acteurs avant de se lancer ? Après tout, on peut y aller tête baissée, l’urgence en main, le bon sens en bandouillère, non ?
En même temps, ma promesse, c’est un chemin avec le juste nécessaire d’efforts, le minimum possible de difficultés, la plus grande chance de succès.
Et nous recueillons les retours d’expérience.
En fait, savoir où on met les pieds avant de se lancer, c’est investir sur les hommes et les femmes présents et agissants. Parce que les personnes qui forment mon environnement ont horreur qu’on pense pour elles, et plus horreur encore qu’on ne les consulte pas, comme si elles ne valaient rien. Or, elles ont façonné leur environnement de travail, elles ont acquis de l’expérience. Elles trouveront dommage qu’on ne s’en serve pas. Alors, servons-nous en.
Comment faire ?
- écouter son environnement, en rencontrant des acteurs individuellement, en notant leurs réponses à trois questions-clés, juste trois questions.
- collecter le retour d’expérience, individuellement ou, mieux, en groupe, au moyen d’un tableau à quatre cases, simplissime et pour cela si efficace !
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